Archi-Folies 2024

© CAUE de Paris

Ascension est réalisé par l'École Nationale Supérieure d'Architecture (ENSA) Paris-Est avec la Fédération Française (FF) d'Escalade.

Le pavillon est constitué de deux constructions jumelles en treillis : le mur d’escalade pointe vers le ciel et la pergola abrite un espace d’exposition et d’échange. Tel un signal ludique, ce mur praticable offre une vue sur le parc.

Le pavillon est conçu en bois et acier, à partir de matériaux biosourcés.

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L’ensemble des éléments préfabriqués par les étudiants dans les ateliers de l’école sont en bois massif d’essence Douglas. Les assemblages moisés sont liaisonnés soit par boulonnage, soit par visserie.

L’usage de l’acier est restreint le plus possible aux éléments absolument nécessaires à la stabilité et la durabilité des constructions.

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Le pavillon est conçu, par l'ENSA La Réunion avec la Fédération Française de Surf, à partir d’un matériau biosourcé récolté à La Réunion : le bambou. La souplesse du bambou rappelle les ondulations de l’océan et l’adaptation constante des surfeurs et surfeuses au milieu marin mouvant.

Le pavillon s’inspire des abris de surf de bord de mer et des salles vertes, structures festives temporaires historiques de l’île.

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La totalité de la structure en bambou, les éléments de façade et la toiture hors toile PVC ont été réalisés par les étudiants (nettoyage, fendage, découpe, réalisation des plugs, des brise soleil).

Le piédestal en béton a été réalisé par impression 3D.

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La conception du pavillon, imaginée par l'ENSA de Nancy et la Fédération Française d'Aviron, propose une représentation « retournée » d’une course en ligne.

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Cinq poutres intègrent dans leur géométrie des skiffs, embarcations emblématiques de l’aviron. Les rames sont formalisées par des poteaux qui soutiennent un treillis tridimensionnel, symbolisant l’eau en mouvement.

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Les skiffs et les nœuds d’assemblage du treillis ont été réalisés en suivant un procédé innovant de stratoconception, exigeant un travail de modélisation numérique avancé.

Les poteaux du treillis sont en bois massif de réemploi (sapin), issus d’un chantier de déconstruction de la charpente de l’église de Sainte-Marguerite dans les Vosges.

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L'ENSA Grenoble et la Fédération Française de Canoé Kayak propose un pavillon conçu autour d’expérimentations formelles et plastiques évoquant le mouvement de l’eau.

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La structure en bois est habillée de panneaux ajourés en tôles d’aluminium, dont la superposition crée des jeux de lumière similaires aux caustiques : les motifs lumineux présents à la surface de l’eau.

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Le dessin des percements des façades intègrent les angles de directions de la lumière des mois d’été, il est alors possible de reproduire la projection d’un phénomène caustique que l’on retrouve au fond de l’eau, en laissant pénétrer certains rayons lumineux sur le sol du pavillon.

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Le pavillon imaginé par l'ENSA Marseille et la Fédération Française de Voile, s’inspire des modes constructifs des cargos à voile.

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Constitué d’une remorque sur béquilles, d’un mât et d’une couverture en voile, le réglage du gréement à travers des jeux de hauteurs viendra offrir des usages multiples à l’intérieur de cette structure ouverte sur le parc et le canal.

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La transportabilité de ce pavillon devient un élément conceptuel, il peut se déplacer de site en site, attelé à un véhicule, comme un bateau.

Ce pavillon mobile a pour vocation d'être facilement réutilisé par la Fédération Française de Voile lors d’évènements.

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Ce pavillon de l'ENSA Paris-Malaquais et la Fédération Française d'Escrime, est pensé comme un paysage à deux faces : les gradins s’adressent à une place destinée aux démonstrations d’escrime et la sous-face en alcôve accueille un parcours d’exposition.

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Les matériaux sont réemployés et déclassés : bois massif, panneau de bois contreplaqué et tôle ondulée ici employée comme élément structurel innovant.

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Un Modulor de l'architecte Le Corbusier se métamorphose en un futur médaillé d’or de l’escrime, les proportions impeccables de cette figure illustrent les mouvements de l’escrimeur et les similitudes entre l’escrime et l'architecture.

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L’architecture du pavillon pensée par l'ENSA Paris Val de Seine pour la Fédération Française de Boxe, met en scène la dualité de ce sport de combat : une structure en bois tridimensionnelle légère répond à la fluidité des déplacements des boxeurs et de leurs esquives.

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Un mur massif et opaque en brique de bois incarne le coup de poing. Leur contact symbolise la puissance de frappe du coup donné à l’adversaire.

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Le pavillon est réalisé en majorité à partir de réemploi :

• le bois a été récupéré d’un chantier d’ouvrage d’art se trouvant à 500m de l’ENSAPVS. Il est issu de plusieurs essences : sapin, pin et épicéa.
• la toiture est faite de tôles qui sont également récupérées de ce même chantier.
• le revêtement de sol est fait de planches OSB, seuls éléments achetés neuf avec la quincaillerie.

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Trois écoles se sont rassemblées autour de la conception de ce pavillon avec la Fédération Française de Triathlon :

• l’ENSA Strasbourg
• l’INSA Strasbourg
• les Compagnons du Devoir.

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La géométrie triangulaire de la charpente évoque les trois disciplines du triathlon : natation, cyclisme et course à pied.

Ouvert sur l’extérieur, l’espace est rythmé par des poteaux de petite section, soutenant une charpente de poutres en treillis dont la couverture plissée est en zinc.

Le bois est de l'épicéa massif non traité issu des forêts locales (Vosges) : ossature de plancher, platelage, poteaux, charpente, volige.

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Les assemblages ont été pensés pour limiter l’usage du métal et permettent de monter puis démonter le pavillon, afin d’assurer sa deuxième vie. À l’issue des JOP, le pavillon reviendra à Strasbourg et, après adaptation, sera implanté au sein du Parc des Romains, pour être utilisé par une association de quartier.

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Le pavillon proposé par l'ENSA de Clermont-Ferrand avec la Fédération Française de Cyclisme, abrite une structure circulaire faisant écho à la roue de vélo.

L’architecture épurée et apparente du pavillon évoque la simplicité de cette pratique sportive, démocratique et à la portée de tous.

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Une attention particulière est accordée aux matériaux utilisés, naturels et locaux : bois en Douglas du Massif Central et soubassement réalisé en pierre volcanique massive en provenance du Cantal.

L’intention première de l’ENSACF est de proposer une alternative à l’acte de construire dans le contexte d’un événement sportif mondial dont l’impact environnemental et social est important.

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Ce pavillon proposé par l'ENSA de Paris Belleville avec la Fédération Française d'Athlétisme invite à une promenade architecturale sensible par le biais du son, des textures, des ambiances lumineuses et des cadrages.

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Tous les éléments du pavillon ont été dimensionnés en référence à de grands records sportifs.

Chaque discipline de l’athlétisme a été décomposée (quantifiable – non quantifiable / record – sensation) et codifiée afin de pouvoir être traduite en langage architectural pour une expérience sensible du lieu.

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La structure primaire est une charpente en bois. Les « tuiles » de carbone sont issues du démontage d’un A380. Le sol est en partie recouvert de l’ancien revêtement des pistes d’athlétisme du Stade de France. Les lampes proviennent du stade Jean Bouin dans le 16ᵉ arrondissement de Paris.

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L'École Nationale Supérieure d'Architecture et du Paysage - ENSAP de Bordeaux et la Fédération Française de Pentathlon moderne proposent avec ce pavillon, une mise en parallèle entre les cinq sports du pentathlon moderne et les cinq sens à travers une scénographie immersive.

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Le projet se veut être une résultante émotionnelle et sensorielle des disciplines sportives du pentathlon : l’escrime, la natation, l’équitation, le tir au pistolet laser et la course à pied.

L’ENSA a travaillé étroitement avec la fédération et les athlètes. Ils se sont rendus à l’INSEP à deux reprises pour comprendre au mieux les spécificités du pentathlon moderne.

Ce parcours sensoriel créé par une succession de modules a été imaginé par l’ENSAP Bordeaux, en collaboration avec l’École du bois de Nantes.

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L’architecture épurée du pavillon imaginée par l'ENSA de Versailles et la Fédération Française d'Équitation évoque la forme des manèges équestres.

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La paille, matériau respectueux de l’environnement encore peu courant en construction, incarne à la fois l’agriculture et l’élevage équestre.

La structure est composée de bottes de paille empilées en quinconce.

L’arche d’entrée est constituée de bottes en porte-à-faux maintenues par le treillis en partie haute.

La toiture légère est en tôle d'aluminium percée en son centre afin d'accueillir lumière du soleil et eaux pluviales qui seront récupérées au milieu du pavillon dans un bac de récupération planté.

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Pour évoquer la dimension urbaine du skateboard et du roller, ce pavillon conçu par l'ENSA de Montpellier avec la Fédération Française de Roller & Skateboard, est construit grâce à des échafaudages.

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Le cube, enveloppé de filets blancs, abrite une large toile blanche qui s’étire sur toute la hauteur du pavillon, rappelant la forme des rampes utilisées dans ces sports. Celle-ci doit servir d’écran à des projections immersives.

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Ce pavillon prône le réemploi en faisant appel à des entreprises montpelliéraines spécialisées dans les matériaux de seconde main.

Parti pris radical, les échafaudages et l'habillage en filets blancs d'échafaudage servant d’enveloppe seront démontés et remis en service. La bâche de projection est une fin de rouleau d'imprimeurs.

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Conçu par l'ENSA de Saint-Étienne avec la Fédération Française de Gymnastique, comme un praticable à ciel ouvert pouvant accueillir des cours collectifs et entouré d’une galerie circulaire.

Le pavillon se compose d’une structure principale cyclique simple, constituée de 16 portiques moisés en bois qui reposent sur des plots en béton.

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L'intention a été de produire un pavillon de forme organique afin de faire écho au sport représenté, créant une intériorité pour permettre aux visiteurs de pratiquer des activités à l’abri des regards extérieurs. Ce pavillon joue avec l’effet d’intimité créé par les parois microperforées en toile de trampoline.

À l’intérieur, un ruban de bois massif rappelle certains agrès de gymnastique et la diversité des figures exécutées.

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Imaginés par l'ENSA Toulouse avec la Fédération Française de Rugby, à la manière d’un terrain de rugby, des gradins se déploient autour d’un espace central accueillant des poteaux.

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La brique rouge, emblématique de Toulouse, est ici utilisée comme lest et contreventement du pavillon. Celui-ci est construit en bois de petite section, selon le principe du collectif du rugby où « l’union fait la force ».

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Le pavillon est divisé en 3 parties :

• au centre, un espace libre pour accueillir des activités sportives, des regroupements qui représente le terrain du stade.
• des poteaux de rugby directement reliés à la structure sont placés en face de la façade d’entrée.
• un espace couvert délimite l’entrée du pavillon, marquée par deux murs en briques à l’aspect massif, qui représentent les deux blocs de gradins.

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Inspirée par l’architecture des régions tropicales, la structure parapluie du pavillon est formée par des portiques rayonnants en cannes de bambou.

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L’espace sous cette canopée, imaginé par l'ENSAP de Lille avec la Fédération Française de Basket-Ball, est laissé en libre circulation. Le projet se veut le plus léger possible, aussi bien formellement qu’en termes d’empreinte écologique.

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Le pavillon accueille des affichages autour du basketball et des gabions non structurels, dans lesquels prennent place des éléments symboliques de ce sport.

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Le cube, symbolisant l’institution et la tradition des Jeux Olympiques, est éclaté par l'ENSA de Lyon avec la Fédération Française de Danse : scindé en cinq (quatre piliers et une toiture) par la force et le dynamisme des mouvements de breakdance.

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La forme intérieure de la structure a été générée à l’aide d’un algorithme analysant les mouvements précis de danseurs. On s’imagine un danseur enfermé au centre du cube qui tente de s’en libérer, mouvement après mouvement. Au fil de sa danse, l’intérieur du cube se creuse, se modelant à la forme des figures du danseur et lui donnant de plus en plus d’espace.

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L'assemblage a été fait sans vis ni clou mais avec un système de languettes permettant d'emboîter les éléments en bois.

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Quatre cyphers (cercle au sol, à l’intérieur duquel danser) ont été réalisés sur la base d’un système exclusif de panneaux stables et amortissants. Ils servent à accueillir les danseurs durant les JOP.

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Ce pavillon est proposé par l'ENSA Paris-La Villette avec la Fédération Française de Lutte. Le lexique de la lutte est retranscrit spatialement dans le pavillon : UP pour la verticalité, OUT pour l’ouverture vers l’extérieur.

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En plan, le pavillon reprend la géométrie du tapis de lutte. L’ossature légère en acier et le Lycra tendu du cylindre retranscrivent l’agilité et la souplesse du lutteur.

Le cylindre signal, surplombant le cercle de lutte, joue le rôle de canon de lumière.

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La fédération organisera des démonstrations de lutte dans le cercle central du pavillon. Des sièges et du mobilier d'accueil sont disposés dans les quatre coins du pavillon.

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Ce pavillon proposé par l'École Spéciale d'Architecture avec la Fédération Française de Badminton, a l’allure légère, presque aérienne. Il s’inspire des attributs du badminton : le volant et la raquette.

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Sa périphérie est dessinée par des « plumes » en toile de montgolfière recyclée, en référence aux plumes d’oie du volant.

La poutre-treillis en chêne symbolise le tamis de la raquette. Une grande partie du plancher et sa structure est constituée de bois réutilisé.

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Le cadre de la raquette est représenté par un cercle en aluminium fixé sous la canopée. À ce cadre est suspendu un rideau bleu, repliable, rappelant la couleur des terrains de badminton.

La canopée est recouverte d’une fine feuille de polycarbonate protégeant l’intérieur de la pluie.

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Le pavillon de l'ENSA Bretagne avec la Fédération Française de Tir à l'Arc, s’inspire des anciens abris utilisés pour pratiquer le tir à l’arc en extérieur. Ce pavillon est marqué par le choix d’une architecture modeste, presque vernaculaire.

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Le pavillon s’intègre au paysage du Parc de La Villette grâce à sa palette de couleurs naturelles. Une ambiance naturelle est insufflée par l’emploi de matériaux comme le liège et le bois. Des parois en corde tressée font référence aux cordes des arcs.

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Le pavillon se compose de trois volumes de 12m² organisés autour d’un espace central, dont le sol est recouvert de plaques de béton recyclées.

L’assemblage des trois volumes autour d’un patio renvoie à l’idée de campement. Chacun des volumes a une fonction spécifique (accueil, stockage, exposition).

Un espace d’apprentissage est intégré avec un espace de tir au nord.

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